On a demandé à nos nouveaux diplômés de nous parler de leurs projets après la collation des grades. En voici sept qui s’apprêtent à se tailler une place dans le monde du travail.
Prête à prodiguer les soins
« Après avoir obtenu mon baccalauréat en sciences infirmières, je suis prête à commencer ma carrière d’infirmière autorisée à l’Hôpital d’Ottawa. J’espère aussi pouvoir partir en voyage bientôt! »
– Rosalyn Glass, baccalauréat en sciences infirmières @rosalynglass
Une serre pour la sécurité alimentaire
« Je vais faire du bénévolat dans la communauté Anicinape de Kitcisakik pour participer à la revitalisation de leur système alimentaire par l’agriculture et la culture de plantes médicinales traditionnelles en serre. J’ai rencontré les membres de cette communauté lors d’une activité d’apprentissage par l’engagement communautaire, ce qui m’a motivée à faire une thèse sur l’utilisation des serres dans les communautés autochtones pour parfaire mes connaissances sur les pratiques autochtones et la sécurité alimentaire et être en mesure d’évaluer leur projet. Pour moi, la collaboration est la clef pour amener des changements positifs dans ces communautés. J’offre des ressources et des connaissances et en retour, je bonifie un apprentissage qui est essentiel à la poursuite de mes aspirations dans le domaine de l’environnement et des projets de collaboration. »
– Stacey Olynick, B.A. spécialisé bidisciplinaire en études de l’environnement et géographie, lauréate d’une bourse du Fonds Alex-Trebek pour l’innovation et le défi
La démocratie au Moyen-Orient et en Afrique du Nord
« Je vais travailler pour le National Democratic Institute for International Affairs, plus précisément la division du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord. J’espère avoir l’occasion d’effectuer de nombreuses recherches et d’approfondir mes connaissances sur les enjeux internationaux. »
– Hiba Jamai, baccalauréat en sciences sociales spécialisé en science politique @hibsjamai
Une Chinoise qui donne des cours de français? Oui, ça se peut
« J’ai décidé d’apprendre le français il y a six ans parce que tout le monde étudiait l’anglais et je voulais me démarquer. J’ai fait deux ans de cours en Chine, un an en France et trois ans ici. Mais c’est vraiment à l’Université d’Ottawa que mon français est passé à la vitesse supérieure! Au début, c’était très difficile : je ne connaissais personne et l’hiver était abominable. Mais l’encadrement des professeurs et les méthodes de rédaction que j’ai apprises m’ont fait beaucoup progresser. Je ne pensais pas être acceptée à la maîtrise, mais les professeurs qui ont vu mon travail m’ont encouragée. Ça m’a permis de prendre confiance en moi et maintenant, je donne des cours de français à des fonctionnaires et à des enfants, même si ce n’est pas ma langue maternelle! »
– Ran Zhao, M.A. en lettres françaises
Une passion pour le travail qui fait le poids
« Je travaillerai à titre de consultant à KPMG au centre-ville de Toronto, tout en conservant ma passion pour l’haltérophilie que j’ai découverte ici à l’Université d’Ottawa. Mon université va bien me manquer! »
– Germanjit Randhawa, maîtrise en génie électrique et informatique @lifter.randhawa
Faire pousser son entreprise
« Pendant mon séjour à l’Université, j’ai démarré une entreprise, The Growcer, qui a pris beaucoup de place dans ma vie. Growcer utilise des systèmes hydroponiques pour faire pousser des légumes toute l’année, peu importe le climat. Mais diriger une entreprise et poursuivre ses études en même temps est tout un défi. Obtenir mon diplôme veut dire que je pourrai consacrer plus de temps à la croissance de mon entreprise. Nous accueillons des stagiaires coop depuis un peu plus d’un an et nous venons de signer un contrat avec le gouvernement du Canada. L’Université d’Ottawa, par l’intermédiaire d’Enactus, a joué un rôle crucial dans la concrétisation de cette idée et je suis reconnaissant et content du résultat. »
- Corey Ellis, Baccalauréat en sciences commerciales
Apprendre auprès des leaders
« J’ai fait mes études en science politique. J’ai également participé à un programme qui nous jumelait avec deux députés au cours de l’année. Nous avons aussi voyagé à Washington, à Londres et à Bruxelles, en plus de pouvoir visiter d’autres assemblées législatives provinciales. Mon parcours se poursuivra sous forme d’un stage en science politique sur la Colline du Parlement avec l’Association canadienne de science politique. »
– Sarah Crosby, baccalauréat en sciences sociales spécialisé en science politique @sarahnc_